Il s'agit d'un certain Jean-Marie Loret-Frizon qui serait fils illégitime qu'aurait eu Adolf Hitler et une paysanne lors de la première guerre mondiale nous apprends le livre "Ton père s'appelait Hitler".
C'est en juin 1917, que Charlotte Eudoxie Alida Lobjoie, âge d'à peine 16 ans, succombe au charme du caporal allemand. De cette liaison hors mariage naquît le "fils de bôche" qui finira par être adopté par une famille plus bourgeoise. L'enfant se sait le fils d'un officier allemand mais fera tout pour "laver" cette "tâche" de naissance (il apprendra le nom de son "géniteur" que quelque temps avant la mort de sa mère).
De son côté, son "père" présumé continuera à prendre des nouvelles de la mère de son"enfant". Mais chose encore plus étonnante, la famille adoptive héritera d'un immeuble à Francfort sans bourse déliée.
Les faits
Un air de famille réel ou travaillé, le même groupe sanguin, une écriture très proche... conclu à une probable ascendance entre Jean-Marie et le Führer.
Mais pas seulement. Des témoignages concordants affirme que la mère Charlotte reçoit pendant l'occupation des enveloppes d'argent de la part d'officiers SS. Jean-Marie retrouvera également un tableau dans son grenier signé de l'artiste Adolf Hitler. En allemagne on a retrouvé un portrait qui ne peut qu'être celui de Charlotte tellement la ressemblance est frappante.
Selon la thèse de l’historien Werner Maser l'ascendance est réelle mais d'autres réfutent cette thèse comme le journaliste Jean-Paul Mulders.
Source:lepoint.fr/societe/exclusif-le-fils-francais-cache-d-adolf-hitler-17-02-2012-1432303_23.php
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