Des chercheurs de l'université d'Otago ont mis à jour des rites funéraires énigmatiques d'un peuple encore inconnu du Cambodge...
L'Université d'Otago en Nouvelle Zélande par le biais de leurs chercheurs travaillant dans des régions éloignées des montagnes cambodgiens ont mis un nouvel éclairage sur l'histoire perdue d'un peuple non identifiés par l'étude de leurs rites funéraires "énigmatiques".
Les premières datations au carbone d'un pot inhabituel d'inhumation à l'aide des bois d'un cercueil, d'émail de dents et d'os.
Avec des collègues en provenance du Cambodge, d'Australie, Etats-Unis et en Ecosse, les docteurs Nancy Beavan et Sian Halcrow du Département d'anatomie viennent de publier la datation de quatre sites.
Elles révèlent que les rituels funéraires mystérieux, qui ne ressemblent à aucun autre enregistrés au Cambodge, ont été pratiquées à partir d'au moins 1395 AD à 1650 AD.
Dr Beavan, qui est actuellement au Cambodge, dit que cette période coïncide avec le déclin et la chute du puissant royaume d'Angkor, qui était assis dans les basses terres.
"Les pratiques funéraires dans le Royaume d'Angkor et de ses successeurs impliqués crémation plutôt que quoi que ce soit à distance comme ceux qu'on trouve sur les sites que nous étudions. Cette différence marquée suggère que, en termes culturels, ces montagnards non identifiés "vivaient en marge »de leurs contemporains des plaines.
À ce jour, la majeure partie de la recherche qui constitue ce que l'on sait de l'histoire culturelle de la région Khmer a mis l'accent sur les basses terres, dit-elle.
«Grâce à notre travail, nous espérons élargir la compréhension de cette histoire au-delà des héritages du royaume khmer," dit-elle.
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Source: voxy.co.nz/national/otago-researchers-delve-enigmatic-burial-rituals/5/122817
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